[The French version (translated by Françoise Smith) of Last Days was published five months before the English version will appear with Underland Press. So far it's received excellent reviews. On this page, you'll find the French cover, a French description of the book, and excerpts from French reviews and blogs. On the Last Days page, you'll find English-language reviews of the book, the American edition cover, and translated excerpts from the French reviews.]
(As the French title suggests, Last Days
has a connection to a limited edtion chapbook I published called The Brotherhood of Mutilation. The first 40% of the novel is more or less that chapbook, with the last 60% being a continuation and expansion of it.)
Après avoir perdu une main lors d'un règlement de comptes, Kline, un détective privé, se voit confier une enquête au sein d'une société secrète composée de mutilés volontaires, où un meurtre a été commis.
Mais, pour mener son enquête, Kline doit gagner la confiance des membres de cette étrange secte. Or cette confiance se paie cher, car pour accéder à certains niveaux de la hiérarchie, il convient d'être à chaque fois davantage amputé... Jusqu'où Kline sera-t-il prêt à aller pour découvrir l'insoutenable vérité ?
Les voies de la confrérie sont-elles impénétrables ?
Dans la lignée de Poe et de Borges, une prose incisive au service d'un récit dérangeant, où rivalisent humour noir et banalité de l'horreur.
«Un roman noir à tendence gothique, la recontre de Jim Thompson et de Franz Kafka... L'écriture épurée, la tension, la force des images font de ce fantastique roman un oeuvre obsédante et vertigineuse.» [4 étoiles]
—Christine Ferniot, Télérama
«Polar tendance hard-boiled, cette enquête d'un détective privé dans une secte adepte de la mutilation comme rituel religieux est, pour le coup, une véritable et jubilatoire attaque en règle des religions, de leur absurdité, de leur violence intrinsèque et des luttes de pouvoir qui se jouent en leur sein.»
—Raphaëlle Leyris, Les Inrockuptibles
«Qui aime le style cadancé sans détester les flots d'hémoglobine, qui apprécie une fable poussée à l'extrême dans un bel humour dénonciateur des tares de notre societé, se laissera aller au talent de cet exceptionnel romancier.»
—Pierre-Robert Leclercq, Le Monde des Livres
«L'un des textes les plus dérangeants de la rentrée littéraire.»
—Nicolas D'Esteinne D'Orves, Le Figaro
«Brian Evenson utilise l'horreur sadomasochiste avec humour et une distance absurde à la Kafka. Le récit prend dès lors des airs de parabole politique, personnelle et réjouissante.»
—Baptiste Liger, Lire
«Fouillant plus ardemment que jamais la matière du langage et ses innombrables crevasses et paradoxes sémantiques, Evenson multiplie les faux-semblants et les fausses pistes, notamment dans les très nombreux dialogues, beckettiens en diable, qui oscillent sans cesse entre dialogues de sourd hilarants et humour noir bas du front presque réjouissant... [S]on écriture, comme magnétisée par la puissance d'évocation de son projet, accède à un niveau de précision et de décision inédit, proprement redoutable.» [5 sur 5]
—Olivier Lamm, Chronic'art
«On rit beaucoup, mais derrière l'humour noir et le grand-guignol, c'est la métaphore évidente d'une Amérique malade qui s'automutile, avec des individus divisés, diminués.»
—Valérie Lapierre, UpStreet
«Une course-poursuite sous les auspices de Shylock et Jésus, deux spécialistes du prix de la viande humaine.»
—Libération
«Evenson ne craint pas de prendre les mots au pied de la lettre, et de les passer au hachoir.»
—Sandrine Mariette, Elle
«Un oeuvre aussi étrange que fascinante... Ames sensibles s'abstenir, au risque de défaillir devant tant d'hémoglobine!»
—Livres Hebdo
«...si précis, méticuleux dans les descriptions, ingénieux dans la narration qu'il transcende le genre pour basculer dans un genre nouveau qui serait de philosopher à coups de bistouri, de hachoir et de revolver.»
—Jean-Bernard Vuillème, Le Temps
«Brian Evenson dévoile de nouveau sa singularité dans le paysage de la littérature américaine transgressive, réunissant autour de se roman amateurs de romans de genre comme ceux de la littérature borderline.»
—Critiques Libres
«C’est l’histoire d’un homme qui va devoir se faire violence pour échapper au destin que d’autres voudraient bien tracer pour lui. Un roman à lire, donc, burlesque, gore, noir et drôle.»
—dj duclock blog
«Evenson distille un subtil mélange de métaphores métaphysiques à la Beckett dans ses récits dépourvus de sens mais pleins d’images inoubliables, d’objets étranges et de personnes cassées.»
—Michel Schneider, Le Point
|
